Revenons ensemble sur la maniere dont notre comportement evolue quand on est saoules en se basant sur l’exemple de SPP

J’aime beaucoup festoyer, ainsi, je crois ne pas trop m’avancer si je dis que mon cote (trop) solide vivante fait partie de moi. Si pendant le temps de mes etudes, je sortais a peu pres 5 soirs dans 7, entrainant ainsi mon foie a J’ai surconsommation de substances alcoolisees, Cela reste desormais bon nombre (beaucoup, BEAUCOUP) plus rare que je parte shaker notre booty dans The Clash et lever mon coude pour toute la nuit. Le recul aidant, je me rends desormais compte que je ne suis pas la meme personne d’apres le taux d’alcoolemie. Retour concernant ce qui change en moi quand j’habite petee.

Mais avant de commencer nos festivites via votre petit comparatif, je me suis censee de vous rappeler (meme si vous ne m’avez jamais attendue pour l’entendre) que l’abus d’alcool reste dangereux pour l’equilibre – surtout si tu bois le contenant et puis du contenu.

Le miroir et moi quand je suis ivre

Nous sommes probablement grandes a connaitre un veritable ascenseur emotionnel face au miroir de une bar prefere chaque fois que nous festoyons gaiement. Je dirais que une rapport a une reflet en soiree se divise en 2 etapes :

1. L’envie de procreer avec le miroir : c’est ton cinquieme verre et tu titubes legerement en direction des ouateres closetes, un grand sourire illuminant ton visage. Au moment oi? tu croises ton reflet au miroir, c’est la revelation : tu as l’impression de n’avoir jamais ete aussi attrayante. C’est comme si un halo de lumiere t’aureolait. Personnellement, a ce stade de la fi?te, j’ai l’impression d’avoir le sex appeal d’une Pussycat Dolls avec de charme d’une Cate Blanchett alors qu’en fait, j’ai plus l’air d’un moineau sous EPO.

2. L’envie de tout peter : apres ton onzieme verre, tu commences serieusement a avoir en gali?re a la tete. Tu te croises dans le miroir et la, c’est le choc : yeux injectes de sang, bouche pendante, peau grasse, paupieres qui tombent, ainsi, regard hagard. « je ressemble i  votre bichon maltais decede croise avec votre poney mal peigne« , pourrais-je me dire dans ces cas-la.

J’ai failli oublier l’etape 3 : Ce qu’on voit dans le miroir au reveil.

La specialite de ma conversation quand je suis ivre

… Qui reste inversement proportionnelle a l’idee que je m’en fais quand j’suis legerement imbibee.

Si, Quand j’habite sobre, je n’ai deja pas la repartie d’une Raphaelle Bacque ou d’une Arlette Chabot j’habite, saoule, aussi interessante qu’un lecteur de disquettes. Je baragouine des trucs incomprehensibles, faire mes phrases paraissent au desordre et, pire, il est en mesure de m’arriver de commencer une phrase et de l’oublier en cours de route. Et cela peut donner entre autres lieu a de tels discours :

« Le probleme, avec la Birmanie, c’est la Nintendo GameCube. J’ai pas trop aime quand t’as surpris Avengers ? J’ai deniche ca carrement… Merde, on parlait de quoi deja ? »

J’exagere tout juste.

Mon rapport a l’argent quand je suis ivre

Je ne suis pas ce qu’on appelle une personne « pres de ses sous », mais j’essaie de ne pas faire craquer le slip Daniel Hechter de mon banquier. Ce qu’il faut comprendre via la, c’est que je ne suis pas vraiment du genre a payer des trucs a des gens que je viens de rencontrer.

En revanche, en fi?te, il pourra arriver que je leve les bras haut dans le ciel avant de hurler « profils happn Whouhouuuu, c’est la tourneeee ! » simplement parce qu’un(e) inconnu(e) m’a fait marrer. Generalement, c’est le signe que j’ai atteint le paroxysme de l’euphorie et que je ne vais jamais tarder a m’endormir dans la table.

Les demonstrations d’affection quand j’habite ivre

De nature assez pudique et legerement coincee du bulbe, il faut me sentir sacrement en confiance Afin de prendre quelqu’un dans mes bras. Qu’est et cela me pousse donc a faire des distributions de free hugs* a des inconnus parce qu’ils m’ont tenu la a des toilettes ou qu’ils m’ont rendu la monnaie du verre ? Je ne sais pas vraiment. Mais je m’etonne de ne point encore avoir recu d’uppercut bien place.

L’oubli complet d’une notion de pudeur quand je suis ivre

Si j’ai tendance, dans l’existence de tous les jours, a verifier si je n’ai gui?re un teton qui sort pour penser bonjour (aussi quand je suis en col roule), en fi?te, il n’en reste pas grand chose. T’as la jupe qui vous remonte jusqu’aux oreilles ? Pas i  fond. Si tu remontes pas ton t-shirt tout de suite, tu finis en soutif ? Rien a fout’. Bordel fais quelque chose on voit ta raie des fesses ? J’en n’ai rien a peter.

C’est du moins votre qu’ont l’air de me dire les photos d’une soiree que je regarde le lendemain sur les reseaux sociaux en me rongeant des ongles jusqu’au colon.

Et toi, quels sont les trucs qui changent dans ton comportement quand tu as bu des coups ?